• j'aime à penser que cela se fera parmi les bloggeurs  ,on est quand même très nombreux  et la solidarité entre bloggeurs n'est pas un vain mot (même si il y a des exceptions). 

     
    pris  sur le blog de gypsy

                                                                              et celui de    fleurrose



    J’ai reçu ce message par E-mail plusieurs fois, j’ai donc décidé de le publier à tous mes lecteurs, Lorsqu'ils seras d’effuser sur les sites et blogs toutes la semaine, et si tous les citoyens achète rien ce jour là … je serais vraiment très impressionnée. Pour moi pas de sorti le 12 Mars donc pas de dépense… Bonne journée


    LISEZ ATTENTIVEMENT CE QUI SUIT.


    Sujet :
    Jeudi 12 mars: journée SANS ACHATS !!!

    -         D'autres pays l'ont déjà fait.

    -         Pourquoi pas nous ?

    -          PARTICIPEZ AU  MOUVEMENT NATIONAL du JEUDI  12  MARS  2009

    DATE DONT LE GOUVERNEMENT ET LES GRANDS FINANCIERS DE CE PAYS SE SOUVIENDRONT :

     - Vous êtes invités, tous et toutes, ce jour-là à ne « RIEN ACHETER  » surtout :

            - ESSENCE - GAZOIL

            - TABAC

            - JEUX DE HASARD (ts jeux de la Française des Jeux)

            - ALCOOL

            - BOYCOTT DE LA GRANDE DISTRIBUTION (sauf les petits commerces de proximité)

            - ESSAYER DE NE PAS ETRE VERBALISE (radars, feu rouge, stop, stationnement....)

            En fait, tous ce qui est ‘’surtaxé’’  par l'état.

            Avec un minimum d'organisation, nous pouvons tous y arriver.

            Ce message n'est issu d'absolument, aucun parti politique ni d'aucun syndicat.

            Imaginez l'impact que ce mouvement solidaire national pourrait engendrer

     Cette action sera peut être plus efficace que n'importe quelle grève ou manifestation !!!!

     -  SI VOUS PENSEZ QUE CETTE ACTION PEUT FAIRE CHANGER LES CHOSES ;

    Faites un copier coller sur vos sites, blogs ou diffusez le dans un E-mail a tous vos contacts Internet…

     - PREVENEZ VOS AMIS, COLLEGUES, FAMILLES........qui eux même préviendront à leur tour leurs amis, familles, etc. .......

            - L'EFFET BOULE DE NEIGE SE FERA NATURELLEMENT

            -  QUI TENTE RIEN N'A RIEN !!!!!!!!

    pris sur le blog de gypsy

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    17 commentaires
  •  le décès de bon sens , à ouvrir      ici
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    6 commentaires

  • on m'a envoyé ce mail qui malheureusement est le quotidien de nos hopitaux
    > La realité du travail en milieu hospitalier!!! Il faut la faire changer! > > témoignage d'une infirmière > > Voici un texte  qui à le mérite de décrire une situation qui pour certains d'entres nous est quotidienne et qui pour d'autres reste inconnue ou simplement trop difficile à entendre car ne l'oublions pas pour beaucoup nous sommes des fonctionnaires et donc.................nous n'avons pas à nous plaindre. > Sachez que c'est le quotidien de tous les hôpitaux de France. >
     Bonne lecture et Bonne santé >

    Le témoignage d'une infirmière: > > > Je suis assez catastrophée en ce moment, car dans aucun média, aucune presse, même dans les discours de nos chers politiques, personne ne parle de ce qui se passe du côté de l'hôpital public... Et pourtant, moi qui le vis de l'intérieur, je vous garantie qu'il y a de quoi sauter au plafond (peut-être autant que les fautes d'orthographe dans ce mail, je m'en excuse...!). > Tout ce qui va suivre est un peu compliqué, peut-être, mais nécessaire pour vous expliquer ce qui se passe sur le terrain. > > > Je suis infirmière dans un service de Médecine adulte (Médecine interne et thérapeutique, pavillon 5, hôpital Bellevue à St-Etienne) avec une capacité d'accueil de 21 patients, dont 95% est muté directement des urgences. Autrement dit, la plupart ne sont pas encore très stabilisés sur le plan médical et ont donc besoin d'une surveillance étroite et efficace de la part des infirmiers et aide-soignants. Les femmes de ménage (ASH) ont elles aussi un rôle important, car au détour d'un couloir ou pendant qu'elles nettoient une chambre, elles peuvent être les premiers signaux d'alarme d'un patient en détresse. Sans parler de leur travail primordial pour assurer l'hygiène des services, rôle majeur dans la lutte des infections nosocomiales. > > > Nos équipes s'organisent ainsi : (les équipes de jour et de nuit sont indépendantes, je ne travaille que le jour matin-soir) > 2 infirmières + 2 aide-soignantes + 1 ASH le matin > 2 infirmières + 2 aide-soignantes + 1 ASH le soir > 1 infirmière + 1 aide-soignante la nuit > > > Ceci est ce qu'on appelle le service minimum, autrement dit, c'est le minimum réglementaire pour assurer la sécurité des patients. Or il faut savoir que nous n'avons jamais de personnel en plus et que la tendance actuelle est de nous faire tourner en sous-effectif de manière presque systématique les soirs et les week-end, soit un seul infirmier pour 21 patients. > > > Depuis 2 mois, une de mes collègues infirmières a démissionné et n'est pas remplacée, une autre est en arrêt de travail qui risque d'être prolongé cet été et n'est pas non plus remplacée. Nous ne sommes donc plus que 6 infirmiers au lieu de 8 à assurer un roulement sur 4 semaines, jours de semaine, week-end et fériés compris. Alors nous effectuons 1 puis 2 puis 3 week-end supplémentaires (nous en travaillons déjà 2 sur 4 habituellement) et ainsi de suite pour que le service tourne, avec des jours de repos qui sautent et des alternances de rythme incessantes. Si bien qu' il devient impossible de prévoir quoi que ce soit en dehors de la vie au CHU, sous peine de devoir annuler au dernier moment pour cause : boulot! > > > Samedi dernier, le 14 juin 2008, une autre collègue s'est arrêtée et, étant la seule infirmière du soir, il n'y avait donc personne pour prendre la relève du matin... C'est un infirmier des urgences qui a été détaché de son service pour venir dans le nôtre, qui a assuré les soins de nos 21 patients, alors qu'il ne les connaissait pas, et qui a dû faire face en plus à une situation d'urgence vitale de l'un d'eux... > > > Une des ASH est arrêtée depuis 1 an en étant remplacée de manière très ponctuelle, obligeant les 3 ASH restantes du service à se partager un roulement sur 4 semaines, jours de semaine, week-end et fériés compris. Leur tâche est de nettoyer à elles seules, tous les jours, la totalité des 16 chambres du service de fond en comble (vitres, mobilier, murs, WC), les bureaux médicaux, les pièces de vie (office, douche, WC, couloirs), la salle de soins... > > Il faut savoir que le CHU de St-Etienne est en pleine réorganisation, puisqu'un gros complexe est en fin de construction à l'hôpital Nord, promettant parait-il des technologies de pointe, des locaux modernes et surtout des soins efficaces et de qualité... > > Alors expliquez-moi comment être à la hauteur de ces exigences quand le personnel est déjà largement en sous-effectif? L'hôpital refuse d'embaucher, car déficit budgétaire, mais préfère faire appel à l'intérim, qui coûte plus cher que des contractuels... > > Hier, j'étais normalement en 'repos' et j'ai passé une bonne partie de ma journée à démarcher la Médecine du Travail, les syndicats et à parler avec notre chef de service, pour essayer de trouver des solutions pour que notre direction nous entende... > > Nous sommes par chance soutenus par notre chef de service, qui connaît la valeur de notre travail et sait que nous ne protestons pas pour rien. Il nous connaît suffisamment pour lui même remuer ciel et terre pour qu'on s'occupe du sort des soignants à l'hôpital. Il nous soutient par ce que lui-même est très inquiet de la situation et voit notre gouvernement asphyxier le service public hospitalier, or lui a choisi de travailler au CHU par foi en ce service public et dans le respect du serment d' Hippocrate. > > Je dors très mal et pour être honnête je pense au boulot constamment. J'ai peur que le stress me fasse oublier un soin, que la pression m' empêche de prendre le temps avec un patient déprimé, que la fatigue me fasse faire un mauvais calcul de dose, administrer un produit au mauvais patient... J'ai peur que ce métier que j'aime me transforme en assassin, involontairement, par ce qu'on aura laissé la situation se dégrader. Parce que nous sommes tous responsables : je suis l'infirmière d'aujourd'hui mais nous sommes tous les patients de demain. VOUS pouvez être au bout de ma seringue, ou votre mari, votre enfant, votre proche. > Je vis l'insécurité dans mon travail, alors que je le maîtrise pourtant. Mais je suis humaine avant tout. > Vous serez ceux qui pâtirez du manque de soignants dans les services : je n'aurai pas pu prendre le temps de vous donner des nouvelles du patient que vous aimez, je n'aurai pas pu gérer 2 situations d'urgence à la fois... Faut-il attendre qu'il y ait des morts pour réagir et prendre conscience de ce qui se passe dans les hôpitaux??? > > > Aujourd'hui, j'ai besoin de vous. Merci de bien vouloir transférer ce mail de manière la plus large possible, pour informer le plus de monde possible. Si vous connaissez des personnes du monde hospitalier, journalistique, politique ou autre, n'hésitez pas à les solliciter. > Il faut se mobiliser en masse pour être plus efficace, moi toute seule, je n'intéresse personne.' > > Merci pour votre attention!
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    18 commentaires
  •  Il y a quelques jours, est passée, sur France 2, une petite info qui fait réfléchir. 
    > >
    > >  Sur un ton humoristique le reportage montrait un radar automatique, quelque part du côté de Clermont-Ferrand, qui avait été hors service pendant 3 semaines. 
    > >
    > >  Pourquoi ? 
    > >
    > >  Parce qu'EDF avait coupé le courant 
    > >
    > >  pour facture impayée ! 
    > > > >  
    Drôle, non .
    > >
    > >    Mais ce n'est pas tout le vraiment intéressant est ailleurs. 
    > > > >  
    En effet, le journaliste nous expliqua que la société qui gère ce radar n'avait pas payé en temps sa facture d'électricité. 
    > >
    > >  La société qui gère le radar ??? Quoi ?? 
    > >
    > >   Une société privée gère le radar ? 
    > >
    > >  Je croyais que les radars dépendaient de l'état. Mais alors si on réfléchit, cela veut dire qu'au passage il y a des gens qui se sucrent sur les infractions des automobilistes, et que l'argent des amendes loin d'aller entièrement dans les caisses de l'état (ce qui serait un moindre mal) va en partie dans des poches privées !!  
    > > > >  
    Et on peut supposer (car aucune entreprise privée n'est une oeuvre philanthropique) que ces entreprises sont intéressées proportionnellement à la rentabilité des radars. 
    > >
    > >  La spéculation sur la sécurité routière, voilà la dernière trouvaille...  
    > >
    > >  On ne nous avait pas dit ça quand le gouvernement a lancé sa campagne. Il n'y a pas que la sécurité routière dans l'histoire, mais aussi (et surtout ?)... une affaire de profit !! 
    > >
    > >  Et, bien sûr, pour couronner le tout, 
    > >
    > >  le PDG de cette entreprise 
    > >
    > > n'est autre que 

    > >
    > > le frère du ministre Gilles de Robien ! 
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    9 commentaires
  •   Nous n'étions pas habitué à ce genre d'article ! >
     Sujet : Point de vue de journaliste...
     > > Mère d'assassin, fille de victime > >
    Gérard Carreyrou, le mercredi 18 février 2009 à 04:00
    > > Il y a des douleurs et des chagrins de parents qui m'émeuvent et d'autres qui m'énervent.
    > > Parlons clair : je suis sensible à la douleur des parents d'Ophélie Bretnacher qui ne peuvent pas croire au suicide de leur fille à Budapest et je n'ai aucune envie de pleurer aux côtés de la mère du condamné évadé Christophe Khider, blessé hier lors de son arrestation. Pendant 48 heures, sur plusieurs radios et télévisions, on a entendu longuement, trop longuement, cette mère plaider pour son fils et dénoncer sa vie infernale en prison où il purge une longue peine largement méritée.
    > > Je ne sais si cette mère qui s'exprime avec une élégance de style très remarquable s'est bien occupée de son fils lorsqu'il le fallait car tout commence avec l'éducation par les parents.
     > > J'en doute quand j'entends Mme Martine Monteil, un grand flic ancien chef de la brigade de répression du banditisme, expliquer que Khider, qu'elle arrêta en 1995, fait partie de ceux qu'elle qualifie de « nouveaux barbares, capables de tout sans repères ni remords ».
    > > Oserai-je dire à la mère du bandit que je souhaiterais qu'elle fasse une cure de silence radio et s'interroge plutôt sur ses responsabilités et son comportement maternel afin de nous laisser entendre une autre voix. Celle de la fille de l'homme qui fut abattu d'une balle en pleine tête en 1995 et qui a déclaré avec beaucoup de retenue :
     « C'est un tueur, il a commis un crime de sang-froid, je n'ai pas envie de m'apitoyer sur son sort, il n'est pas arrivé en prison par hasard. »
     > > Nous, les journalistes devrions, je crois, davantage entendre et répercuter le cri des victimes plutôt que la défense des criminels.
     > > Edition France Soir du mercredi 18 février 2009 page 11
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