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défi de novembre sur l'enfance
LAISSEZ VOS PARTICIPATIONS SUR LE PROCHAIN ARTICLE APRES CETTE PRESENTATION JE RAPPELLE QUE J'ACCEPTE LES CREATIONS,POEMES OU ARTICLES
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Par cerise-déco le 14 Janvier 2013 à 17:56
main dans la main,
ils fredonnent un petit refrain
une comptine
sur les mimines
la main du diable
n'est pas louable
mettons la main à la pâte
oula main au porte monnaie
mais
ne mordons pas la main qui nous nourrit
jeu de main, jeu de vilain
c'est celui qui le dit qui y est
main invisible
bonjour la surprise
puis le refrain-
menotte, patte,pogne,
c'est la faute à la cigogne
voilà le ptit prince
serrons nous la pince
ils gloussent de bonheur
et reprennent en choeur
voilà le ptit prince
serrons nous la pince
les passants sont enchantés
en les regardant passer
crénom
main à plume vaut bien main à charrue
crie l'père d'une voix bourrue
les cinq doigts de la main ne sont pas égaux
mais je leur tire mon chapeauxxxxx
par lady Marianne
une petite visite pour récompenser sa persévérence s'impose
31 commentaires -
Par cerise-déco le 8 Novembre 2012 à 09:30
par
par CHATBADA
par NADOUCHE
livre ‘l’enfant et la relaxation’
Enfant
Qui es-tu?
Saisir ton regard
Et cueillir sa lumière.
Respirer ton parfum
Et m’enivrer de vie.
Ouvrir la cage de mon coeur
Et m’envoler vers toi.
Me voici avec toi.
Au-delà de l’instant
Chevauchant l’horizon
Pour sauter sur la lune.
Jouer dans l’arc-en-ciel
Boire à la source du printemps
Chanter
Ecouter la présence invisible de tes rêves-couleurs.
Ton sourire dévoile les merveilles de l’univers
Tu allumes pour moi des étoiles de rire
Tu décores ma maison intérieure d’amour et de tendresse.
Viens encore me dire
En silence
Qui je suis.
Geneviève Manent
sur la gauche au 2ème rang ma petite princesse Hyba au Canada en classe avec ses amis/esPhotos-101 | École primaire Marie-Victorin Brossard
par SOUROUR
3 commentaires -
Par cerise-déco le 6 Novembre 2012 à 18:20
comme d'habitude une visite s'impose pour récompenser ceux qui participent si gentillement à mon défi
Vos enfants ne sont pas vos enfants (Khalil Gibran)
Une femme qui portait un enfant dans les bras dit : « parlez-nous des enfants. » Et il dit : « Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas. Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier. Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés. L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et il vous tend de sa puissance pour que ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie, car de même qu’il aime la flèche qui vole, il aime l’arc qui est stable. »
(extrait du livre « Le Prophète » de Khalil Gibran)
PAR DACAIO
L'enfance
Qu'ils étaient doux ces jours de mon enfance
Où toujours gai, sans soucis, sans chagrin,
je coulai ma douce existence,
Sans songer au lendemain.
Que me servait que tant de connaissances
A mon esprit vinssent donner l'essor,
On n'a pas besoin des sciences,
Lorsque l'on vit dans l'âge d'or !
Mon coeur encore tendre et novice,
Ne connaissait pas la noirceur,
De la vie en cueillant les fleurs,
Je n'en sentais pas les épines,
Et mes caresses enfantines
Étaient pures et sans aigreurs.
Croyais-je, exempt de toute peine
Que, dans notre vaste univers,
Tous les maux sortis des enfers,
Avaient établi leur domaine ?
Nous sommes loin de l'heureux temps
Règne de Saturne et de Rhée,
Où les vertus, les fléaux des méchants,
Sur la terre étaient adorées,
Car dans ces heureuses contrées
Les hommes étaient des enfants.
Gérard De Nerval
Recueil : Poésies de jeunesseL'enfance
L'enfant chantait; la mère au lit, exténuée,
Agonisait, beau front dans l'ombre se penchant ;
La mort au-dessus d'elle errait dans la nuée ;
Et j'écoutais ce râle, et j'entendais ce chant.
L'enfant avait cinq ans, et près de la fenêtre
Ses rires et ses jeux faisaient un charmant bruit ;
Et la mère, à côté de ce pauvre doux être
Qui chantait tout le jour, toussait toute la nuit.
La mère alla dormir sous les dalles du cloître ;
Et le petit enfant se remit à chanter...
La douleur est un fruit ; Dieu ne le fait pas croître
Sur la branche trop faible encor pour le porter.PAR SOUROUR
Pour mon père
Mon père aimé, mon père à moi,
Toi qui me fais bondir
Sur tes genoux
Comme un chamois.
Que pourrais-je te dire
Que tu ne sais déjà ?
Il fait si doux
Quand ton sourire
Eclaire tout
Sous notre toit !
Je me sens fort, je me sens roi
Quand je marche à côté de toi.
Maurice Carême.
Souvenir de primaire.....
PAR ARGANTE
certains enfants s'amusent avec trois fois rien
et ils arborent des sourires enchanteurs
bravo les enfants !!
que les nôtres méditent un peu sur le sujet-quand ils demanderont un Iphone !
PAR LADY MARIANNE
56 commentaires -
Par cerise-déco le 5 Novembre 2012 à 09:59Petite fille, souviens-toi !Tu rêvais de mille saisons .Tu avais au bout des doigtsPlein d'espérence et de chansons .Petite fille, tes souriresEtaient des sourires de bonheurEt des étoiles d'avenirScintillaient au bord de ton coeur.Petite fille , l'ouragan,T'a foudroyée au fil du temps .Ta liberté s'est déchiréeSur les cailloux de tes sentiers.Petite fille, l'arc-en-ciel,Reviens toujours après la pluie .Alors comme un rayon de miel,L'amour vrai comblera ta vie .Petite fille souviens-toi !Rêve encore à mille saisons .Garde bien au bout des doigts ,Tes fleurs d'espoir et tes chansons .
42 commentaires -
Par cerise-déco le 2 Novembre 2012 à 11:16
mes contributions
je vous demanderais de prendre un tube sur mes tubes jouets sur le module de gauche tubes, en voilà un comme exemple , mais il y en a plein d'autres et pas seulement des poupées
j'aimerais que vous me fassiez un gif , une image ou que vous me trouviez un poème parlant de l'enfance,pour ceux qui choisissent le gif vous pouvez trouver du matériel dans mes tubes jouets sur le module de gauche
Le cancre
Il dit non avec la tête
Mais il dit oui avec le coeur
Il dit oui à ce qu'il aime
Il dit non au professeur
Il est debout
On le questionne
Et tous les problèmes sont posés
Soudain le fou rire le prend
Et il efface tout
Les chiffres et les mots
Les dates et les noms
Les phrases et les pièges
Et malgré les menaces du maître
Sous les huées des enfants prodiges
Avec des craies de toutes les couleurs
Sur le tableau noir du malheur
Il dessine le visage du bonheur.Jacques Prévert
PREMIERES PARTICIPATIONS
une petite visite s'impose pour remercier les participants
Un enfant m’a dit:
« La pierre est une grenouille endormie. »
Un autre enfant m’a dit :
« Le ciel c’est de la soie très fragile. »
Un troisième enfant m’a dit:
« L’océan quand on lui fait peur, il crie. »
Je ne dis rien, je souris.
Le rêve de l’enfant c’est une loi.
Et puis je sais que la pierre,
vraiment est une grenouille,
mais au lieu de dormir
elle me regarde.
Alain Bosquetun autre poème
Dans l'alcôve sombre
Beau, frais, souriant d'aise à cette vie amère.
SAINTE-BEUVE.
Dans l'alcôve sombre,
Près d'un humble autel,
L'enfant dort à l'ombre
Du lit maternel.
Tandis qu'il repose,
Sa paupière rose,
Pour la terre close,
S'ouvre pour le ciel.
Il fait bien des rêves.
Il voit par moments
Le sable des grèves
Plein de diamants ;
Des soleils de flammes,
Et de belles dames
Qui portent des âmes
Dans leurs bras charmants.
Songe qui l'enchante !
Il voit des ruisseaux.
Une voix qui chante
Sort du fond des eaux.
Ses soeurs sont plus belles.
Son père est près d'elles.
Sa mère a des ailes
Comme les oiseaux.
IL voit mille choses
Plus belles encor ;
Des lys et des roses
Plein le corridor ;
Des lacs de délice
Où le poisson glisse,
Où l'onde se plisse
A des roseaux d'or !
Enfant, rêve encore !
Dors, ô mes amours !
Ta jeune âme ignore
Où s'en vont tes jours.
Comme une algue morte
Tu vas, que t'importe !
Le courant t'emporte,
Mais tu dors toujours !
Sans soin, sans étude,
Tu dors en chemin ;
Et l'inquiétude,
A la froide main,
De son ongle aride
Sur ton front candide
Qui n'a point de ride,
N'écrit pas : Demain !
Il dort, innocence !
Les anges sereins
Qui savent d'avance
Le sort des humains,
Le voyant sans armes,
Sans peur, sans alarmes,
Baisent avec larmes
Ses petites mains.
Leurs lèvres effleurent
Ses lèvres de miel.
L'enfant voit qu'ils pleurent
Et dit : Gabriel !
Mais l'ange le touche,
Et, berçant sa couche,
Un doigt sur sa bouche,
Lève l'autre au ciel !
Cependant sa mère,
Prompte à le bercer,
Croit qu'une chimère
Le vient oppresser.
Fière, elle l'admire,
L'entend qui soupire,
Et le fait sourire
Avec un baiser.victor Hugo
par AIMEE
PAR EMMA
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