• défi de novembre sur l'enfance

    LAISSEZ VOS PARTICIPATIONS SUR LE PROCHAIN ARTICLE APRES CETTE PRESENTATION  JE RAPPELLE QUE J'ACCEPTE LES CREATIONS,POEMES OU ARTICLES

  • main dans la main,
    ils fredonnent un petit refrain
    une comptine
    sur les mimines
    la main du diable
    n'est pas louable
    mettons la main à la pâte
    ou

    la main au porte monnaie

    mais

     ne mordons pas la main qui nous nourrit

    jeu de main, jeu de vilain

    c'est celui qui le dit qui y est
    main invisible
    bonjour  la surprise
    puis le refrain-
    menotte, patte,pogne,
    c'est la faute à la cigogne
    voilà le ptit prince
    serrons nous la pince
    ils gloussent de bonheur
    et reprennent en choeur
    voilà le ptit prince
    serrons nous la pince
    les passants sont enchantés
    en les regardant passer
    crénom
    main à plume vaut bien main à charrue
    crie l'père d'une voix bourrue
    les cinq doigts de la main ne sont pas égaux
    mais je leur tire mon chapeau

     

    xxxxx

     

    nouvelle participation au défi sur l'enfance

     

    par lady Marianne

    une petite visite pour récompenser sa persévérence s'impose

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                                                 par  

    les tutos de pat

     

     

                                   

                     par  CHATBADA


     

    o

     

    par NADOUCHE


     

     livre ‘l’enfant et la relaxation’

    Enfant

    Qui es-tu?

     

    Saisir ton regard

    Et cueillir sa lumière.

     

    Respirer ton parfum

    Et m’enivrer de vie.

     

    Ouvrir la cage de mon coeur

    Et m’envoler vers toi.

     

    Me voici avec toi.

    Au-delà de l’instant

    Chevauchant l’horizon

    Pour sauter sur la lune.

     

    Jouer dans l’arc-en-ciel

    Boire à la source du printemps

    Chanter

    Ecouter la présence invisible de tes rêves-couleurs.

     

    Ton sourire dévoile les merveilles de l’univers

    Tu allumes pour moi des étoiles de rire

    Tu décores ma maison intérieure d’amour et de tendresse.

     

    Viens encore me dire

    En silence

    Qui je suis.

    Geneviève Manent

    poeme-enfant.jpg

     sur la gauche au 2ème rang ma petite princesse Hyba au Canada en classe avec ses amis/esPhotos-101 | École primaire Marie-Victorin Brossard

     

                                                           par  SOUROUR

     

                 

     

     
     
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    comme d'habitude une visite s'impose pour récompenser ceux qui participent si gentillement à mon défi

     

    Vos enfants ne sont pas vos enfants (Khalil Gibran)

     

    Une femme qui portait un enfant dans les bras dit : « parlez-nous des enfants. » Et il dit : « Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas. Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier. Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés. L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et il vous tend de sa puissance pour que ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie, car de même qu’il aime la flèche qui vole, il aime l’arc qui est stable. »

     

    (extrait du livre « Le Prophète » de Khalil Gibran)

     PAR DACAIO



     

    L'enfance

    Qu'ils étaient doux ces jours de mon enfance 
    Où toujours gai, sans soucis, sans chagrin, 
    je coulai ma douce existence, 
    Sans songer au lendemain. 
    Que me servait que tant de connaissances 
    A mon esprit vinssent donner l'essor,
    On n'a pas besoin des sciences,
    Lorsque l'on vit dans l'âge d'or !
    Mon coeur encore tendre et novice, 
    Ne connaissait pas la noirceur,
    De la vie en cueillant les fleurs,
    Je n'en sentais pas les épines,
    Et mes caresses enfantines 
    Étaient pures et sans aigreurs.
    Croyais-je, exempt de toute peine 
    Que, dans notre vaste univers, 
    Tous les maux sortis des enfers, 
    Avaient établi leur domaine ? 

    Nous sommes loin de l'heureux temps
    Règne de Saturne et de Rhée,
    Où les vertus, les fléaux des méchants,
    Sur la terre étaient adorées, 
    Car dans ces heureuses contrées 
    Les hommes étaient des enfants.

    Gérard De Nerval 

    Recueil : Poésies de jeunesse

    L'enfance

    L'enfant chantait; la mère au lit, exténuée,
    Agonisait, beau front dans l'ombre se penchant ;
    La mort au-dessus d'elle errait dans la nuée ;
    Et j'écoutais ce râle, et j'entendais ce chant.

    L'enfant avait cinq ans, et près de la fenêtre
    Ses rires et ses jeux faisaient un charmant bruit ;
    Et la mère, à côté de ce pauvre doux être
    Qui chantait tout le jour, toussait toute la nuit.

    La mère alla dormir sous les dalles du cloître ;
    Et le petit enfant se remit à chanter... 
    La douleur est un fruit ; Dieu ne le fait pas croître
    Sur la branche trop faible encor pour le porter.

    troisième participation au défi sur l'enfance

     

    PAR SOUROUR



     

    Pour mon père


    Mon père aimé, mon père à moi,

    Toi qui me fais bondir

    Sur tes genoux 

    Comme un chamois.

     

    Que pourrais-je te dire

    Que tu ne sais déjà ?

    Il fait si doux

    Quand ton sourire

    Eclaire tout

    Sous notre toit !

     

    Je me sens fort, je me sens roi

    Quand je marche à côté de toi.

     

    Maurice Carême.

     

     

    Souvenir de primaire.....



    PAR  ARGANTE





     

    troisième participation au défi sur l'enfance



    certains enfants s'amusent avec trois fois rien
    et ils arborent des sourires enchanteurs
    bravo les enfants !!

                                                  

     

     
    que les nôtres méditent un peu sur le sujet-

    quand ils demanderont un Iphone !



                          PAR LADY MARIANNE

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  •   

     
    Petite fille, souviens-toi !
    Tu rêvais de mille saisons .
    Tu avais au bout des doigts
    Plein d'espérence et de chansons .
     
    Petite fille, tes sourires
    Etaient des sourires de bonheur
    Et des étoiles d'avenir
    Scintillaient au bord de ton coeur.
     
    Petite fille , l'ouragan,
    T'a foudroyée au fil du temps .
    Ta liberté s'est déchirée
    Sur les cailloux de tes sentiers.
     
    Petite fille, l'arc-en-ciel,
    Reviens toujours après la pluie .
    Alors comme un rayon de miel,
    L'amour vrai comblera ta vie .
     
    Petite fille souviens-toi !
    Rêve encore à mille saisons .
    Garde bien au bout des doigts ,
    Tes fleurs d'espoir et tes chansons .

     

     

     

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  •  mes contributions

    je vous demanderais de prendre un tube sur mes tubes jouets sur le module de gauche tubes, en voilà un comme exemple , mais il y en a plein d'autres et pas seulement des poupées

    defi l'enfance : gif ou poème sur l'enfance

     

    premières participation au défi sur l'enfance

     

     

    gifs enfants

    j'aimerais que vous me fassiez un gif , une image ou que vous me trouviez un poème parlant de l'enfance,pour ceux qui choisissent le gif vous pouvez trouver du matériel dans mes tubes  jouets sur le module de gauche

    Le cancre

     

    Il dit non avec la tête
    Mais il dit oui avec le coeur
    Il dit oui à ce qu'il aime
    Il dit non au professeur
    Il est debout
    On le questionne
    Et tous les problèmes sont posés
    Soudain le fou rire le prend
    Et il efface tout
    Les chiffres et les mots
    Les dates et les noms
    Les phrases et les pièges
    Et malgré les menaces du maître
    Sous les huées des enfants prodiges
    Avec des craies de toutes les couleurs
    Sur le tableau noir du malheur
    Il dessine le visage du bonheur.

     

    Jacques Prévert

     

                          PREMIERES PARTICIPATIONS

    une petite visite s'impose pour remercier les participants


     

    http://viens.eklablog.com/

    Un enfant m’a dit:

    « La pierre est une grenouille endormie. »

    Un autre enfant m’a dit :

    « Le ciel c’est de la soie très fragile. »

    Un troisième enfant m’a dit:

    « L’océan quand on lui fait peur, il crie. »

    Je ne dis rien, je souris.

    Le rêve de l’enfant c’est une loi.

    Et puis je sais que la pierre,

    vraiment est une grenouille,

    mais au lieu de dormir

    elle me regarde.

     

    Alain Bosquet  

    PAR   VIENS CHEZ DANINOUNE


    un autre poème

     

    Dans l'alcôve sombre

    Beau, frais, souriant d'aise à cette vie amère.
    SAINTE-BEUVE.


    Dans l'alcôve sombre,
    Près d'un humble autel,
    L'enfant dort à l'ombre
    Du lit maternel.
    Tandis qu'il repose,
    Sa paupière rose,
    Pour la terre close,
    S'ouvre pour le ciel.

    Il fait bien des rêves.
    Il voit par moments
    Le sable des grèves
    Plein de diamants ;
    Des soleils de flammes,
    Et de belles dames
    Qui portent des âmes
    Dans leurs bras charmants.

    Songe qui l'enchante !
    Il voit des ruisseaux.
    Une voix qui chante
    Sort du fond des eaux.
    Ses soeurs sont plus belles.
    Son père est près d'elles.
    Sa mère a des ailes
    Comme les oiseaux.

    IL voit mille choses
    Plus belles encor ;
    Des lys et des roses
    Plein le corridor ;
    Des lacs de délice
    Où le poisson glisse,
    Où l'onde se plisse
    A des roseaux d'or !

    Enfant, rêve encore !
    Dors, ô mes amours !
    Ta jeune âme ignore
    Où s'en vont tes jours.
    Comme une algue morte
    Tu vas, que t'importe !
    Le courant t'emporte,
    Mais tu dors toujours !

    Sans soin, sans étude,
    Tu dors en chemin ;
    Et l'inquiétude,
    A la froide main,
    De son ongle aride
    Sur ton front candide
    Qui n'a point de ride,
    N'écrit pas : Demain !

    Il dort, innocence !
    Les anges sereins
    Qui savent d'avance
    Le sort des humains,
    Le voyant sans armes,
    Sans peur, sans alarmes,
    Baisent avec larmes
    Ses petites mains.

    Leurs lèvres effleurent
    Ses lèvres de miel.
    L'enfant voit qu'ils pleurent
    Et dit : Gabriel !
    Mais l'ange le touche,
    Et, berçant sa couche,
    Un doigt sur sa bouche,
    Lève l'autre au ciel !

    Cependant sa mère,
    Prompte à le bercer,
    Croit qu'une chimère
    Le vient oppresser.
    Fière, elle l'admire,
    L'entend qui soupire,
    Et le fait sourire
    Avec un baiser.

    victor Hugo

     

    par         AIMEE



     

    enfant halloween

    PAR EMMA

     

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