• j'ai reçu une composition pour présenter la communauté malheureusement , elle vient de vanille 36  , et elle ou il n'a pas marqué le nom de son blog alors serait ce possible de le savoir
    bisous à tous et bonne soirée
    cerisette
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  • s'aimer soi-mème , c'est l'assurance d'une longue histoie d'amour
    oscar wilde
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  • et tout le site est à visiter sans tarder  ici

    Le Marathon des Sables, ce sont des hommes et des femmes du monde entier qui se retrouvent pour écrire une page de leur histoire. Ils sont venus vivre une expérience unique. Au delà de l’effort physique qu’ils fournissent, c’est souvent une aventure presque spirituelle qui les attend. C’est une course où il faut être humble, à l’écoute de son corps, mais aussi, et peut être surtout, à l’écoute de la nature. Imaginez des dunes de sable qui s’étendent à perte de vue. Imaginez un soleil de plomb et une chaleur assommante. Imaginez des tempêtes de vent qui vous empêchent d’avancer. Maintenant, imaginez qu’il faut courir plus de 230 kilomètres en portant son sac à dos et en s’alimentant soi même. Ce challenge relève presque de la folie, et pourtant, c’est le pari que les participants se sont lancé. Six étapes pour boucler le parcours, dont la plus longue sera de plus de 70 kilomètres. En 70 kilomètres, on a le temps. Le temps de refaire le monde avec son compagnon de route, le temps d’être seul, et de se retrouver.

     

    Bien plus qu’une réputation, le Marathon des Sables s’est construit une image mythique. Un cadre aussi hostile que grandiose. A déboulonner toutes les certitudes. Une épreuve, au sens le plus strict du terme, qui effraie autant qu’elle fait rêver…

    Article 2 du Règlement Marathon des Sables : 



    Définition de la compétition :

    « Le Marathon Des Sables (MDS) est une course à pied par étapes, en autosuffisance alimentaire et en allure libre sur une distance de 230 kilomètres environ, avec obligation pour chaque concurrent de porter son équipement (nourriture et matériels obligatoires).

     

    Et plus....

     

    Le Marathon des Sables est une course à pied, par étapes, en autosuffisance alimentaire avec un sac à dos d’au moins 6,5 kg (qui peut atteindre 15 kg pour certains). La distance à parcourir est de 230 à 250 kilomètres environ.

    C’est une épreuve de haut niveau qui se déroule dans le Sahara Sud Marocain à une période où la température peut avoisiner les 50° en plein soleil et 3 à 5° la nuit. Il faut pendant une semaine gérer son effort, son alimentation et ses besoins hydriques tout en dormant par terre.

    L’itinéraire de l’épreuve emprunte toutes sortes de terrains : dunes de sable atteignant 300 mètres, plateaux caillouteux, oueds asséchés, palmeraies, petites montagnes… sur 6 étapes de 20 à 80 km, dont une étape marathon et une non-stop se déroulant en partie de nuit.

     

    Les participants en chiffres pour 2008 :

    • Environ 750 participants dont 250 Français

    • 35 nationalités : Allemagne, Algérie, Argentine, Australie, Autriche, Belgique, Bermudes, Canada, Chine, Corée, Danemark, Espagne, France, Grande Bretagne, Italie, Irlande, Israël, Japon, Luxembourg, Liban, Maroc, Malaisie, Pays Bas, Norvège, Nouvelle-Zélande, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Russie, Sénégal, Suisse, Tunisie, Ukraine, USA, Venezuela.

    • 15% de femmes

    • 10% sont des marcheurs, 90% alternent course et marche.

    …Et 750 grains de folie ...

    Pour encadrer le convoi, c’est un ensemble de plus de trois cents personnes qui s’affairent 24 heures sur 24 : les chauffeurs, les membres de la logistique, les commissaires de bivouac, les responsables de l’environnement, les contrôleurs, les pisteurs, les responsables chronomètres, les médecins... Une organisation pharaonique oeuvre tous les jours pour le bon déroulement de l’épreuve. Le marathon des Sables ne serait pas ce qu’il est sans la dimension humaine qui le transporte, de bivouac à bivouac.

    L’organisation en chiffres pour 2008 :
    • 100 bénévoles pour l'encadrement course
    • 400 personnes pour l'encadrement général
    • 100 000 litres d'eau en bouteilles
    • 150 tentes berbères et sahariennes
    • 100 véhicules 4x4 et camions
    • 1 hélicoptère "Ecureuil" et 1 avion "Cesna"
    • 3 VTT
    • 6 avions de ligne "spécial MDS"
    • 18 bus
    • 4 dromadaires
    • 1 car régie, 5 caméras, 1 station satellite images

    • 6 téléphones satellites, 15 ordinateurs, fax et internet  

    • 40 membres de l'équipe médicale

    • 5 km d'Elasto , 2 700 Compeed, 15 000 compresses
    • 2 800 paires de gants, 2 300 antibiotiques, 5 300 analgésiques
    • 125 litres de désinfectant



    Avec 35 nationalités représentées en 2008, cette course est un véritable point de rencontre culturel. Un reflet des sociétés du monde dans lequel ni l’âge ni la classe sociale n’ont d’importance. Ils sont tous égaux, et tous animés pas ce même projet : finir la course la tête haute. Qu’on soit premier ou dernier, juste la finir. Au fur et à mesure des arrivées, tout le monde se rassemble pour accueillir les retardataires. Plus on se rapproche du dernier, plus il y a de monde pour les encourager. La personne qui clôturera la course sera toujours la plus applaudie. Le dernier gagne l’estime de tous. Quelquefois, la nuit tombe avant que l’étape ne soit achevée. Ce sont alors une multitude de petites lampes frontales qui se déplacent dans le désert. Telles des lucioles attirées par la lumière, ils ne voient rien autour d’eux, ils se dirigent juste instinctivement vers cette lumière de néon qui annonce la fin de leurs efforts, et avec elle le début du réconfort. Et si les nuits de bivouac manquent de confort et les repas en poudre de goût, ce sera toujours dans cette bienveillante bonne humeur que les lampes torches s’éteindront. Au coeur des priorités : la sécurité des participants et la préservation de l’environnement.

    Beaucoup de mesures sont prises pour que le convoi ne laisse aucune trace de son passage : utilisation d’un camion incinérateur permettant de détruire les déchets occasionnés par le passage des marathoniens. Ce camion est constitué d’un four à auto-combustion totale, capable de faire brûler les matières organiques mais aussi le plastique et le métal léger. La numérotation des bouteilles d’eau pour inciter les coureurs à ne pas les jeter sur les pistes (sous peine de pénalité) responsabilise encore plus chacun.

    Des Actions humanitaires  ont été menées ces 15 dernières années par AOI, l’organisateur. Avec la contribution de nombreux donateurs ont été ainsi coordonnées l’installation d’une dizaine de stations de pompage photovoltaïque pour des villages isolés ou pour les populations nomades ainsi que la construction et la rénovation de bâtiments scolaires avec blocs sanitaires et douches solaires. La création d’une coopérative dans un petit village du Sud Marocain, avec les associations Eausoleil et Droit au Coeur est en cours. Objectif : transmettre le savoir des anciens : leurs techniques de vannerie, tissage, poterie…et créer un atelier mixte d’artisans, une crèche pour enfants, un orphelinat… La place de la femme dans la société de ce village sera revalorisée par son alphabétisation et un apprentissage de la comptabilité qui lui permettra d’avoir une activité lucrative…

    Du côté des participants, un grand nombre d’entre eux courent pour des associations, récoltent des fonds. Cette caravane humaine est belle, généreuse et, à l’instar de beaucoup de manifestations de cette envergure, fait du bien autour d’elle.
    Et quand un des coureurs est en difficulté, c’est une formidable chaîne humaine qui se crée, pour l’aider. Sur les pistes du Marathon des Sables, il n’y a pas de place pour l’improvisation. Pas de prise de risque. Les coureurs sont entre de bonnes mains.
    « Il ne faut pas combattre la nature, mais entrer en harmonie avec elle ». Le Marathon des Sables est une course pour laquelle la gestion est fondamentale : gérer son hydratation, son allure, ses calories, ses arrêts, et son émotion. On ne ressort pas de cette aventure comme on y est entré. On y trouve des réponses à des questions qu’on ne s’est peut être même pas posées, on redécouvre des valeurs qu’on avait tendance à oublier, on se rappelle de la chaleur que procure la solidarité, et on se rend compte que dans l’effort, on est plus humain
    .

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